Catégorie : Entrepreneuriat

  • Qu’est-ce qu’une SCOP ? Avantages et inconvénients de la coopérative

    Saviez-vous qu’il existe un statut juridique alternatif à la SARL ou la SAS, dans lequel les salariés ont plus de droits, et les dirigeants plus d’avantages sociaux ?

    À travers cet article, nous allons vous donner la définition d’une SCOP. Un modèle d’entreprise qui se différencie de l’entreprise capitaliste par son mode démocratique de prise de décisions. Un fonctionnement qui repose sur le principe « une personne = une voix » plutôt que sur la part de capital détenu.

    1. Définition SCOP : Qu’est-ce qu’une société coopérative de production ?

    La coopérative de production naît d’une volonté de changer le monde du travail.

    Dans un contexte marqué par la lassitude et l’insatisfaction de certains employés face aux déviances économiques du monde moderne (délocalisations d’activités, distribution des bénéfices de l’entreprise jugée non équitable, manque d’avantage social…) le modèle coopératif se veut être une alternative.

    Historiquement, la coopérative part d’une volonté de se réunir autour de valeurs ou d’actions communes.

    Le statut coopératif peut concerner tous les secteurs d’activités (et taille d’entreprise), à partir du moment où…

    • L’intérêt collectif se justifie par un projet de territoire ou de filière d’activité impliquant un sociétariat hétérogène,
    • La société respecte les règles coopératives (1 personne = 1 voix),
    • La lucrativité doit rester limitée (obligation de réinvestir dans l’activité la quasi-totalité des excédents). Le but n’est pas de s’enrichir à tout prix, mais plutôt de se développer !

    Saviez-vous qu’il existe un modèle d’entreprise où la réussite est collective, ou l’humain est place centrale, et où la richesse est partagée ?

    Il en existe de nombreuses qui gravitent autour de vous sans même que vous le sachiez :

    • Des banques (quand les clients deviennent sociétaires) : La NEF, Le Crédit Coopératif, mais aussi du Crédit Agricole, le Crédit Mutuel…,
    • Des enseignes de distribution : Super U, ou Leclerc par exemple,
    • Des coopératives de commerçants : JouéClub, Intersport, Krys….

    Source

    2. Définition SCOP : Qu’est ce qu’une SCOP, une SCIC et une CAE ?

    En France, vers quel statut juridique (coopératif) se diriger, pour la création ou la reprise d’une société ?

    La SCOP (Société Coopérative et Participative)

    Juridiquement, une Scop est une société coopérative de forme SA, SARL ou SAS dont les salariés sont les associés majoritaires et le pouvoir y est exercé démocratiquement.

    • Les salariés détiennent au moins 51 % du capital social et 65 % des droits de vote.
    • La coopérative doit avoir deux associés au minimum.
    • Un dirigeant élu par les salariés associés, la gouvernance est démocratique.
    • Si tous les salariés ne sont pas associés, tous ont vocation à le devenir. Chaque salarié associé dispose d’une voix, quel que soit son statut, son ancienneté et le montant du capital investi. De ce fait, il intègre un volet jusqu’alors réservé aux dirigeants d’entreprise : il a un pouvoir de décision et participe à la répartition des bénéfices.
    • Le partage du profit est équitable et doit obligatoirement être, en partie, réinvestit dans la coopérative pour en assurer son développement :
      — Une part pour tous les employés, sous forme de participation et/ou d’intéressement
      — Une part pour les associés sous forme de dividendes
      — Une part pour les réserves de l’entreprise

    La SCIC (Société Coopérative d’Intérêt Collectif)

    Juridiquement, une Scic est une société coopérative de forme SARL, SAS ou SA à capital variable.

    Contrairement à la Scop, elle doit obligatoirement intégrer trois types d’associés :

    • Un salarié de la Scic (ou un producteur de biens ou de services),
    • Un bénéficiaire des biens et services proposés par la coopérative (par exemple : clients fournisseurs, habitants, etc.),
    • Tout autre type d’associé. Une personne physique ou morale de droit privé ou de droit public, contribuant à l’activité de la coopérative (par exemple : des sociétés, des associations, des artisans, des bénévoles, des agriculteurs, des collectivités territoriales,…).

    La CAE (Coopératives d’Activité et d’Emploi)

    Un peu différente des deux précédents statuts, la CAE s’adresse plus aux freelances ou aux personnes qui pensent au portage salarial.

    Rejoindre une CAE, c’est rejoindre un cadre juridique, économique, social et humain pour créer, développer puis stabiliser son projet entrepreneurial.

    En CAE, l’entrepreneur peut être à la fois :

    • Entrepreneur autonome, rémunéré en fonction de sa production,
    • Salarié : Après une période de test d’activité qui dure de 6 à 18 mois en fonction de son projet, et dès qu’il y a suffisamment de chiffre d’affaires pour soutenir une rémunération, un contrat d’entrepreneur salarié associé avec toutes les protections du droit du travail et de la sécurité sociale est proposé,
    • Associé : Sous trois ans au plus tard à partir du démarrage de son accompagnement par la CAE.

    Ce statut d’entrepreneur salarié permet de percevoir un salaire généré depuis le chiffre d’affaires de son activité, de bénéficier de la même couverture sociale qu’un salarié classique, tout en étant autonome sur le développement de son activité et sur sa manière d’effectuer ses prestations et de vendre ses produits.

    En bref, trois statuts, bien différents des classiques SARL ou SAS n’est-ce pas ?

    Pour résumer, vous pouvez retrouver une vidéo explicative créée par l’URSCOP : Une Scop, c’est quoi ?

    Concentrons-nous maintenant sur la définition de la SCOP. Quel fonctionnement juridique ? Pour quelles limites ?

    3. Quels sont les avantages et inconvénients de créer son entreprise en SCOP ?

    En termes de gestion, de répartition du bénéfice, de fonctionnement, ou de loi ; ces types de statuts juridiques offrent différents points positifs et négatifs.

    La gouvernance horizontale

    👍 L’augmentation de l’implication des salariés

    • Le salarié est partie prenante dans la prise de décision et le développement de l’entreprise ; il participe à l’assemblée générale.
    • La transparence dans les chiffres, notamment dans la répartition du bénéfice.
    • Les associés sont placés sur un pied d’égalité.
      Les bénéfices sont répartis entre les associés en fonction de leur travail et non de leur capital.
    • Une volonté commune de faire bouger les lignes du travail aujourd’hui.
      Écrire le fonctionnement de l’entreprise de demain. Rejoindre le mouvement coopératif, peu importe le statut, c’est intégrer un réseau. Un accompagnement qui contribue au développement du projet : suivi personnalisé, accompagnement juridique, solutions de financements adaptées à la création d’entreprises comme à leur développement, formations, échanges professionnels…

    👎 Les difficultés de coordination

    • Les décisions peuvent être plus longues à prendre en raison de la démocratie participative.
    • Les salariés doivent être prêts à investir du temps et de l’argent dans leur SCOP.

    La stabilité et la pérennité de l’entreprise

    👍 Les avantages financiers et sociaux

    • Le gérant peut être salarié de sa propre entreprise (et non pas TNS comme en SARL) il a donc droit au chômage, à la retraite, et aux avantages sociaux d’un salarié classique.
    • Les associés ont une responsabilité limitée en cas de faillite de l’entreprise,

    En France, il faut appliquer les règles de droit commun, c’est la loi. La SCOP sera par conséquent soumise à :

    • TVA et contribution économique territoriale (CET)
      Comme toute entreprise commerciale, une SCOP est soumise à la TVA et à la CET (qui comprend la CFE et la CVAE).
    • Impôt sur les sociétés (IS)
      Une SCOP est par défaut soumise à l’impôt sur les sociétés comme une SARL ou une SA.
      Particularité : une exonération partielle d’IS est possible si au moins 40 % du bénéfice est redistribué aux salariés sous forme de participation. Dans ce cas, seule la part non redistribuée est imposable.
    • Réserves impartageables et déduction fiscale
      Les réserves légales impartageables (part du bénéfice mise en réserve pour la pérennité de la coopérative) sont exclues de l’assiette de calcul de l’IS, ce qui réduit l’imposition.

    👎 Les limites de la coopération

    • La gestion des parts sociales lors des départs,
    • Des difficultés à trouver des comptables qui connaissent les spécificités du statut SCOP
    • Les investisseurs extérieurs peuvent être réticents à investir dans une SCOP en raison de la gouvernance démocratique ou du manque de connaissances du statut.

    Conclusion : Êtes-vous convaincu par le modèle coopératif ?

    En conclusion, une Scop (Société Coopérative et Participative) est une forme d’entreprise unique qui place les salariés au cœur de sa gouvernance et de son fonctionnement. Entreprendre en coopérative, c’est choisir un modèle d’entreprise qui valorise :

    • La démocratie au travail
      Chaque salarié associé a une voix dans les décisions importantes, indépendamment de son ancienneté ou de son investissement financier.
    • Le partage équitable des bénéfices entre les salariés, les associés et le développement de l’entreprise.
    • Une vision à long terme, favorisant la stabilité et la pérennité de l’entreprise.
    • L’implication et la responsabilisation des salariés dans le développement de leur outil de travail.

    Bien que ce modèle présente des défis, notamment en termes de prise de décision collective et de gestion des parts sociales, il offre une alternative intéressante pour ceux qui souhaitent entreprendre de manière plus éthique et participative. La SCOP incarne ainsi une vision de l’entreprise où le capital humain est valorisé autant que le capital financier, répondant aux aspirations d’un nombre croissant d’entrepreneurs et de salariés en quête de sens dans leur travail.

    Pour aller plus loin, je vous invite à visiter les ressources crée par l’Union Régional des Scop.


    ✒️ Cet article a été écrit par Léa.

  • Qu’est-ce que le bien-être au travail en tant qu’entrepreneur ?

    Dans l’épisode 06 de la saison 2 de Cogiter, Céline a eu le plaisir d’échanger avec Laura Besson, fondatrice de Bien dans ta boite. En tant que coach holistique, elle accompagne les entrepreneurs dans leur bien-être au travail grâce à des coachings, des formations et des cours de yoga. Elle est aussi hôte du podcast Bien dans ta boite où elle partage tous ses conseils sur le développement personnel et professionnel.

    Quels aspects comprend le bien-être au travail ?

    Selon la méthode holistique sur 4 plans (Model PMSE), le bien-être au travail correspond à l’équilibre entre :

    • P : Le Physique qui englobe le sommeil, l’alimentation, le corps physique et l’énergétique
    • M : Le Mental avec la concentration, la mémoire, la pleine conscience, la croyance, le mindset…
    • E : L’Émotionnel qui correspond à l’identification des besoins, des émotions, du stress…
    • S : Le Spirituel qui évoque les valeurs, celle de l’entreprise et pourquoi on se lève tous les matins ?

    Il en ressort très clairement que notre entreprise dépend de notre bien-être.

    Pourquoi nous abandonnons ce qui est vital quand nous sommes sous l’eau ?

    C’est dingue parce que dès qu’on est sous l’eau niveau taf, on dépriorise : ? Le sommeil : on se lève plus tôt ou on se couche plus tard. ? Le sport : “pas le temps en ce moment” ? La cuisine : “je commande et je mange devant mon ordi”

    Pourtant, si on :

    ✅ Dormait au moins 8h

    ✅ Commençait par aller faire une heure de sport

    ✅ Faisait une vraie pause dej en mangeant sain

    On serait beaucoup plus productif.

    Et beaucoup plus apaisé dans une situation stressante. En fait, on ne serait tout simplement plus sous l’eau.

    Dès que le travail s’intensifie, on dépriorise les seules solutions saines qui peuvent nous aider à le gérer.

    On a un problème non ? ?

    Post LinkedIn de Pierre Guilbaud

    Quand nous traversons une période difficile, nous faisons une focalisation sur le problème. Toute la sphère psychique va être concentrer sur “Oulalala il y a un problème, il y a un danger !”. Pourquoi ?

    Quand nous nous focalisons sur un problème une sorte de cercle vicieux va se mettre en place :

    Plus nous voyons ce problème, plus nous nous focalisons dessus, plus il gonfle, plus il prend toute la place et nous voyons plus que lui.

    Ceci entraine une focalisation des ressources sur le problème. Ce n’est donc pas le moment où la sphère psychique veut prendre du temps pour créer des bonnes habitudes.

    De plus, les bonnes habitudes, c’est coûteux ! C’est un effort qui demande de la discipline et comme nous avons moins d’énergie nous la concentrons sur le problème à régler.

    L’objectif est donc d’arriver à changer notre focus attentionnel pour mobiliser nos ressources sur ce qui nous fait du bien, sans pour autant totalement oublier notre problème (car oui, à un moment, il va quand même bien falloir le résoudre pour avancer).

    Que pouvons-nous faire dans ces périodes difficiles ?

    Il est important de différencier une période difficile qui est très dense, mais a une fin précise, de la période d’épuisement qui dure dans le temps.

    En période difficile, il faut accepter que c’est ok d’être dans le yang qu’il faut pendant un certains temps mettre un coup de collier. C’est ok si les semaines qui suivent il est possible d’être dans le yin. Cela signifie que cette période à une fin.

    Au contraire, en période d’épuisement c’est le yang qui s’installe et qui reste. Un entrepreneur toujours dans le yang va se retrouver clouer au lit en yin avec un épuisement professionnel voir un burn out

    D’après la médecine chinoise, le yin et le yang sont deux énergies qui ont un principe d’interdépendance : le yang à son apogée devient toujours du yin et le yin à son apogée devient toujours du yang.

    En psychologie positive, nous parlons de fonctionnement optimal versus un fonctionnement maximal. Nous ne pouvons pas être dans un fonctionnement maximal tout le temps, ce n’est pas possible. Cela impliquerait de la lutte émotionnelle et donc un fonctionnement optimal.

    Qu’est-ce que la yoga thérapie ?

    La yoga thérapie est l’utilisation des techniques de yoga à des fins thérapeutiques.

    C’est une prise en charge holistique globale de la santé. La volonté d’un mieux être global ou une prise en charge d’une pathologie précise : thématique de dos, de ventre ou de la sphère hormonal et gynécologique…

    C’est une pratique posturale qui travaille aussi la respiration, la méditation, l’alimentation, l’énergétique…

    Les bienfaits de la yoga thérapie sont multiples : mieux être physique, sérénité, meilleure régulation émotionnelle et hormonale, meilleure mémoire… C’est une prise en charge globale à la fois avec l’accompagnement de coaching et la psychothérapie.

    Attention le yoga ne pas tout guérir à Il peut soigner le corps, les fascias, les étirements, l’oxygénation, la concentration, la stabilité émotionnelle…

    Quels sont les astuces pour éviter ces petites douleurs quotidiennes ?

    La sédentarité est une catastrophe ! 8h assis équivaut 1,2 paquet de cigarettes fumé par jour.

    Le lien ? La circulation sanguine et l’oxygénation du sang car celui-ci ne bouge pas pendant 8h.

    Les différentes problématiques qu’engendre une position statique derrière un bureau :

    • Les yeux entrainent des problématiques sur la sphères des cervicales,
    • Le dos quand qu’on est assis entraine pleins de choses au niveau du ventre et jambes.

    On est enroulé vers l’avant toute la journée (au bureau ou même au volant) donc il faut arriver à étirer vers l’arrière la chaine antérieure qui est rapiécée toute la journée.

    Les différentes postures de yoga qui permettent d’étirer la chaine antérieure :

    • Le pont,
    • Le chameau,
    • Les flexions type cobra,
    • Le chien tête en haut,
    • Le sphinx,
    • Un exercice très simple : lier les mains dans le dos, tendre les bras pour rouler les épaules en arrière et resserrer les omoplates proche de la colonne vertébrale.

    En position assise, le piriforme (petit muscle en bas des fesses) est tout le temps écrasé, il est possible de l’étirer avec :

    • La posture du pigeon allongé : allonger sur le dos, ramener un genou, venir mettre la cheville opposée sur le genou et ramener le genou vers notre buste,
    • Une posture facile à faire partout : assis sur une chaise, le pied droit par terre, ramener la cheville gauche sur le genou droit et se pencher vers l’avant.

    Le psoas (fléchisseur de hanches), très lié au système digestif, est aussi fortement impacter. La fente est un bon moyen de l’étirer : au sol pied droit devant, genou gauche derrière (et on inverse après), sur l’inspiration on se grandit et sur l’expiration on lâche le bassin comme si on voulait qu’il fusionne avec le sol.

    Dans un travail sédentaire, derrière un bureau ou un volant ce qui pose problème ce n’est pas d’être assis, c’est de ne pas bouger. Il est donc recommandé de changer toutes les heures de position et de ne pas attendre d’avoir mal.

    Voici 3 conseils pour qu’un entrepreneur soit bien dans sa boite :

    1 — Être à l’écoute et en capacité de l’identification de ses besoins : Quelle est la situation ? Quelles sont mes émotions ? Quel est le besoin psychique qui n’est pas satisfait derrière ça ?

    C’est indispensable pour toutes les problématiques relationnelles et de procrastination, et toutes les luttes émotionnelles.

    2 — Avoir la connaissance de soit, psychique et physique pour adapter notre emploi du temps, notre alimentation, notre sommeil… Adaptabilité à sa singularité.

    3 — Arriver à identifier ses valeurs et à être en phase avec.

    Qu’est-ce que tu raconterais lors d’un discours pour tes 85 ans ? Qu’est-ce qui a été important pour toi dans ta vie pour que ça soit dit à ce moment là ? Étudier la réussite pour soi.

    Quels sont les livres à lire sur le sujet ?


    Les coordonnées de l’invitée :

    Retrouvez Laura sur :

    ✒️ Cet article a été écrit par Cynthia, d’après les propos de Laura.

  • 20 outils pour développer son entreprise

    Quand on se lance dans l’aventure de l’entrepreneuriat, il est parfois difficile de savoir vers quels outils se tourner pour son business. Ce constat est encore plus probant lorsqu’il s’agit d’un business responsable, où nos outils de travail sont (aussi) censés être en adéquation avec les valeurs que l’on porte.

    De l’organisation aux réseaux sociaux, en passant par le web et la création de design, Cōam vous présente aujourd’hui 20 outils que nous utilisons au quotidien pour notre entreprise, et qui pourront peut-être vous aider à développer la vôtre !

    Note : Tous les outils présentés ne sont pas forcément éco-responsables ou français. Nous les utilisons car nous n’avons pas encore trouvé d’alternatives correspondant à nos besoins. Nous sommes bien entendus à l’écoute de vos suggestions en commentaire pour étoffer cette liste. 🌱

    Certains outils de cette liste peuvent contenir des liens d’affiliation.

    Organisation

    Kdrive — Le drive écolo

    • Kdrive est un espace de stockage proposé par l’hébergeur éco-responsable Infomaniak. Il permet d’avoir un Drive partagé avec toute l’équipe pour stocker et partager des fichiers facilement.
    • Le petit ✚ : La protection des données 🕵️‍♀️
    • Le budget 💸 : 11€/mois pour un usage en entreprise (jusqu’à 6 personnes) et 18To de stockage pour KDrive.

    FileVert — Le transfert de fichiers responsable

    • FileVert permet d’envoyer des pièces jointes lourdes tout en maîtrisant l’empreinte numérique. Nous l’utilisons quotidiennement pour transférer tous les fichiers à destination de nos clients, de façon plus responsable.
    • Les petits ✚ : L’engagement écologique 🌱, la protection des données 🕵️‍♀️, le made in France 🇫🇷
    • Le budget 💸 : Gratuit pour l’envoi de fichiers disponibles 48h et 6,25€/mois HT pour une disponibilité de 7 jours et plein d’autres avantages !

    Notion — L’organisateur par excellence

    • Notion est un outil absolument magique qui a révolutionné notre organisation. Il permet de centraliser et d’organiser tous types de données.
    • Le budget 💸 : Gratuit pour un usage personnel ou 10$/mois pour un usage collaboratif en entreprise.

    Tiime — La compta simplifiée

    • Tiime c’est le logiciel de facturation et de gestion de notre comptabilité, qui nous accompagne depuis le début !
    • Les petits ✚ : Hyper simple d’utilisation avec l’application mobile et compatible avec de nombreux comptables !
    • Le budget 💸 : Gratuit pour un usage basique puis 14,90€/mois pour plus de fonctionnalités.

    Toby — Le gestionnaire de favoris

    • Toby est une mémoire de travail avec tous les sites que vous utilisez quotidiennement et ceux que vous ne voulez pas perdre. Il permet de gérer tous vos favoris en les classant simplement et de manière participative avec l’ensemble de l’équipe.
    • Le budget 💸 : Gratuit !

    Treebal — La message instantanée verte

    • Treebal est une messagerie éco-responsable qui préserve la planète et les données. C’est notre messagerie instantanée chez Cōam !
    • Les petits ✚ : L’engagement écologique 🌱 (l’application supprime automatiquement les messages après 7 jours, ce qui permet de ne pas alourdir les serveurs), la protection des données 🕵️‍♀️, le made in France 🇫🇷
    • Le budget 💸 : Gratuit pour un usage personnel ou 2€/mois/utilisateur pour un usage professionnel.

    SideCare — Le RH en ligne

    • SideCare est une plateforme qui permet de gérer la prévoyance et la mutuelle collective en entreprise mais également de téléverser des documents relatifs au travail (justificatifs de transport, arrêts maladie, etc).
    • Le petit ✚ : Le zéro paperasse 📄 (plus besoins d’imprimer et conserver les contrats sur vos étagères)
    • Le budget 💸 : Gratuit !

    Kmeet — Le visio écolo

    • Kmeet c’est la solution de visioconférence proposé par Infomaniak. Pas besoin de compte, elle est hyper simple d’utilisation !
    • Le budget 💸 : Gratuit !

    Calendly – La planification de rdv simplifiée

    • Calendly est une extension intégrable à votre site internet pour permettre à vos visiteurs de prendre un rendez-vous en ligne en 1 clic ! Parfait pour développer son business.
    • Le budget 💸 : Gratuit pour la version basique ou à partir de 10€/mois pour plus personnalisation.

    Web & communication

    Hootsuite — Le planificateur

    • Hootsuite est un planificateur de publications pour plusieurs réseaux sociaux (Facebook, Instagram, Youtube, Linkedin, Twitter, Pinterest…). Nous l’utilisons pour programmer et gérer plusieurs comptes.
    • Le budget 💸 : Gratuit pour la programmation de 5 posts simultanés et 2 réseaux sociaux puis à partir de 99€/mois pour un plan illimité.

    Website Carbon — La calculateur carbone de sites web #1

    • Website Carbon est un outil pour mesurer l’impact carbone de son site internet en copiant / collant votre URL. Il permet également d’obtenir un badge afin de l’afficher sur son propre site.
    • Le petit ✚ : L’engagement écologique 🌱
    • Le budget 💸 : Gratuit et open source.

    EcoIndex — Le calculateur carbone de sites web #2

    • EcoIndex c’est un peu le nutriscore des sites web.⁣ Chaque page est notée de A à G et obtient un score sur 100. Plus la note tend vers le A mieux c’est ! 🏆⁣
    • Le petit ✚ : Développé par le très fiable GreenIT.fr, EcoIndex est un outil hyper fiable et ultra précis pour tout comprendre en détail.⁣
    • Le budget 💸 : Gratuit !

    Ausha — L’hébergeur français de podcast

    • Ausha* est une plateforme pour promouvoir et analyser votre podcast. Nous utilisons pour héberger notre podcast Cogiter. En plus d’être très intuitive, elle propose régulièrement des nouveautés comme une communauté d’entraide et d’échange autour du podcast afin de développer son business.
    • Le petit ✚ : Le made in France 🇫🇷
    • Le budget 💸 : 11€/mois pour l’offre classique et à partir de 24€/mois pour davantage de personnalisations.

    *lien affilié

    Build Your Podcast — La meilleure formation pour lancer son podcast

    • Build Your Podcast, c’est la formation que Céline a utilisé pour lancer Cogiter ! Safia y propose un coaching pour lancer et/ou développer son podcast. La formation est régulièrement enrichie avec différents modules (interview, etc) et un groupe FB d’entraide permet d’être en contact avec tous les autres entrepreneurs du coaching.
    • Le petit ✚ : Safia propose régulièrement des Masterclass sur le sujet, n’hésitez pas à les suivre avant de vous lancer !

    Design & photo

    Adobe Creative Cloud — L’outil professionnel de création

    • La gamme Adobe est notre principal outil pour la création de design, pour nos projets clients et nos réseaux sociaux : des maquettes de sites web sur XD, aux illustrations sur Illustrator, en passant par la retouche photo sur Photoshop ou encore la mise en page sur In Design.
    • Le petit ✚ : Adobe Express (le petit nouveau de la suite : la version Adobe de Canva)
    • Le budget 💸 : 67,01€/mois pour un accès à l’ensemble de la suite Adobe en entreprise.

    Unsplash — La banque d’images

    • Unsplash est une banque d’images libres de droit. Chez Coam, nous nous en servons pour imager les maquettes de sites web que nous réalisons pour nos clients, le temps de les remplacer par leurs photos.
    • Le budget 💸 : Gratuit !

    Inshot — Le montage vidéo simple et rapide

    • Inshot est une application (compatible IOS ou Android) de montage vidéo. Elle nous permet de monter certaines vidéos sur téléphone, sans passer par Adobe Premiere Pro ! L’idéal pour la création de vos Reels par exemple.
    • Le budget 💸 : Gratuit !

    TinyJPG — Le convertisseur miracle

    • TinyJPG convertit toutes vos images en une version plus légère sans perte de qualité ! Ce site compresse vos fichiers JPG, PNG, ou WebP en un instant. Idéal pour alléger sans trop d’efforts vos documents print ou web.
    • Le budget 💸 : Gratuit !

    Tanaguru Contrast Finder — L’accessibilité web

    • Tanaguru est un outil pour valider l’accessibilité web d’une couleur. Vous rentrez la couleur de votre texte et la couleur de votre fond et il vous confirme la bonne lisibilité ou propose des alternatives colorées.
    • Le budget 💸 : Gratuit !

    Coolors — La palette couleurs de tous vos projets

    • Coolors c’est notre outil pour créer des combinaisons de couleurs. Il propose des palettes de couleurs qui marchent déjà ensemble ou nous permet de laisser libre cours à notre inspiration en nous laissant créer nos propres palettes.
    • Le petit ✚ : L’outil donne des petits noms aux couleurs et nous informe de la lisibilité d’un texte blanc ou noir en complément de la couleur.
    • Le budget 💸 : Gratuit !


    Article co-écrit par Cynthia & Léa.

  • Comment définir son positionnement ?

    Lors de la création d’une entreprise, d’une marque ou d’un produit il est important d’avoir un positionnement pour construire ses offres et sa stratégie de communication. Ça semble évident, mais comment faire pour définir son positionnement ?

    Comment définir son positionnement grâce au mapping concurrentiel ?

    Comment ça se présente ?

    La matrice de positionnement se présente sous la forme d’un graphique à deux axes (sous la forme d’une croix). Vous allez déterminer deux critères principaux qui vont constituer votre matrice. L’idée est de placer un critère sur la ligne verticale et un autre critère sur la ligne horizontale.

    L’objectif : visualiser facilement et visuellement les caractéristiques de distinctions de vos concurrents par rapport à une offre et de vous placer par rapport à eux.

    Agence Coam - Mapping pour définir son positonnement de marue

    Comment procède-t-on ?

    1. Vous allez déterminer vos deux principaux critères, en fonction de votre activité, de vos offres, de vos différences ou en fonction des besoins de vos clients :

    Voici un petit listing de critères pour vous inspirer :

    • Le prix : faible / élevé
    • La gamme : bas de gamme / haut de gamme
    • Le suivi client : client autonome / suivi personnalisé
    • Le type de client : grand public / niche
    • Le type d’offre : digitale / en présentiel

    Il faut ensuite répertorier vos concurrents (les produits, les services, les marques) qui ont un positionnement qui rentre dans les critères que vous avez sélectionnés.

    ⚠️ Attention : Il faut avoir bien étudier vos concurrents avant, je vous conseille de les positionner dans un tableau et de noter les plus, le moins, les prix… et tous les éléments qui peuvent vous être utiles. Une fois bien identifiés, vous les placez ensuite sur votre mapping.

    Comment analyse-t-on un mapping ?

    On emploie souvent deux termes, issus de la théorie des océans bleus, développée par W. Chan Kim et Renée Mauborgne dans leur livre « Blue Ocean Strategy » : Océan bleu et Océan rouge.

    L’océan rouge

    C’est un marché très concurrentiel ! Dans cet environnement, les entreprises se disputent des parts de marché dans un secteur très précis. Cela conduit souvent à une guerre des prix, et une réduction des marges bénéficiaires.

    Sur le mapping, ça se représente par la formation d’un groupe que l’on appelle Groupe stratégique.

    L’océan bleu

    Contrairement à l’océan rouge, l’océan bleu représente un marché concurrentiel très faible, voir inexploité ! Les entreprises sur ce marché sont inexistantes, il y a donc une absence de concurrence directe. C’est le marché rêvé ! Cela permet notamment de pouvoir profiter de marges plus élevées.

    ⚠️ Attention : Dans ce cas, le risque est que votre entreprise réponde bien à une réelle demande des consommateurs. Si vous n’avez aucun exemple d’entreprise sur ce marché, il est possible qu’il soit bancale.

    Sur le mapping, ça se représente par l’isolement de votre entreprise.

    En résumé, l’océan bleu consiste à sortir des cadres traditionnels de la concurrence pour explorer et créer de nouveaux espaces de marché. Alors que l’océan rouge consiste à choisir un secteur déjà saturé mais où la demande n’est plus à prouver.

    Le centre du mapping

    Il faut éviter d’être au milieu, au centre des deux axes. Cela signifie que vous ne vous démarquez pas et vous vous noyez dans la masse.

    Si vous êtes dans ce cas, il faut alors prioriser un critère et vous repositionner. Le risque de la place du milieu est qu’à force de vouloir tout faire, vous n’allez être expert sur aucun domaine. L’idée est de ne pas être partout à la fois.

    Comment se différencier de ses concurrents ?

    Il existe beaucoup de façons de se différencier de vos concurrents :

    • Avoir une offre/un produit innovant que l’on ne retrouve pas encore sur le marché.
    • Avoir une identité de marque très forte ! Elle va vous permettre de vous différencier et va aussi permettre à vos clients de vous identifier facilement.
    • Mettre en place une stratégie de communication cohérente avec votre positionnement et votre identité de marque. Pour vous différencier, il faut communiquer autour de vos atout, faire connaître votre engagement, votre produit et votre univers à votre cible !

    ✒️ Cet article a été écrit par Cynthia.

  • Comment définir sa cible ?

    Quand on lance son activité il est important de définir sa cible, son client idéal. Cette étape est indispensable pour établir par la suite votre stratégie de communication et définir votre positionnement.

    Quels sont les différents types de cible ?

    La première chose à savoir est qu’il existe différents types de cibles, vos clients ne sont pas tous les mêmes.

    • La cible primaire : ce sont les personnes à qui vous vous adressez, à qui vous voulez vendre un produit, une offre… donc ce sont vos clients. Par exemple pour nous : les entrepreneurs qui ont besoin d’être accompagnés dans la réalisation de leurs supports de communication web et imprimé.
    • Le cœur de cible : c’est une petite partie de la cible primaire avec des critères plus spécifiques. Par exemple : les entrepreneurs à la recherche de solutions de communication qui prennent en compte les différents impacts à la fois d’un point de vue éthique mais aussi environnemental.
    • La cible secondaire / la cible relais : ce sont des personnes qui vont parler de vous mais qui ne sont pas forcément vos clients. Par exemple : notre partenaire SEO, qui va peut-être parler de nous à ses clients, notre partenaire en développement web qui va peut-être nous recommander à un de ses clients pour réaliser son identité visuelle. Il est aussi possible que ce soit des influenceurs ou des journalistes.

    Agence Coam - Comment définir sa cible ? - Les différents types de cible

    Comment définir les différents types de cible ?

    1 – Questionner votre cible pour mieux la comprendre

    Afin de connaître votre cible et ses attentes, je vous conseille de réaliser un questionnaire ou/et un bref échange au téléphone.

    ❓Le questionnaire est une première étape pour comprendre ses habitudes, ses comportements, ses attentes vis-à-vis d’un produit/service. Cette étape est très simple à mettre en place, vous pouvez réaliser un questionnaire grâce à typeform.com par exemple et le diffuser sur les réseaux sociaux. Cette première base va vous permettre de recueillir des éléments importants pour affiner votre cible.

    Pour aller encore plus loin, l’idéal est de réaliser des échanges téléphoniques avec de potentielles cibles afin de comprendre leurs besoins et leurs attentes. Attention, vous ne devez pas avoir une idée et une approche de vente lors de cet échange. Il faut avant tout comprendre leur besoin avant de proposer vos services/offres, sinon vous n’allez obtenir aucune information pertinente.

    2 – Réaliser des personae

    Une fois vos différentes cibles identifiées, il est intéressant de réaliser ce que l’on appelle des personae. C’est une personne fictive à laquelle vous allez attribuer des caractéristiques sociales, psychologiques et comportementales afin de représenter un groupe d’usagers avec des besoins similaires. En quelque sorte vous allez réaliser le Sims de votre cible. L’objectif des personae est d’analyser le comportement de votre cible afin de mieux la comprendre pour répondre à ses attentes.

    Les critères à définir pour réaliser son persona :

    • Son mode de vie (citadin, célibataire, famille nombreuse…) et ses habitudes de consommation (fréquence d’achat, marques/produits qu’il utilise),
    • A-t-il des craintes particulières, des envies par rapport à une situation/offre/service (en fonction de votre activité) mais également ses attentes,
    • Ses compétences, par exemple est-ce qu’il est à l’aise avec le numérique,
    • Ses motivations qui le pousse à utiliser un service, une offre, un produit…

    Pour un rendu plus visuel et impactant, je vous invite à mettre en forme votre persona et lui donner vie avec notamment un prénom, une photo, un âge et un petit récit d’un moment de sa vie qui l’invite à utiliser/avoir besoin de votre produit/service/solution.


    À vous de jouer maintenant que vous avez toutes les clés en main !

  • Comment trouver le nom de son entreprise ?

    À quoi sert le nom de votre entreprise ?

    Trouver le nom pour son entreprise, c’est une des étapes les plus cruciales de sa création tant elle concrétise le projet : sans nom, une personne n’a pas d’identité, c’est la même chose pour votre entreprise !

    Ce n’est pas une étape facile, on se retrouve vite à partir dans toutes les sens.

    Il est cependant primordial de passer par cette phase, juridiquement premièrement, puis pour se créer sa propre identité de marque et enfin pour se démarquer de sa concurrence.

    Trouver le nom de son entreprise (sa marque, son produit…) : des règles à respecter ?

    Votre nom peut être en lien avec votre activité ou alors votre identité à vous. Il peut être composé de lettres, d’initiales, de chiffres. Il est aussi possible d’inventer un mot.

    Il n’y a pas de règles.

    Selon moi, il est intéressant que votre nom symbolise ou sous-entende quelque chose. Votre nom peut induire vos valeurs/votre histoire comme c’est le cas pour Cōam, ou bien raconter une histoire comme 18h15 (nom que nous avons trouvé pour la box apéritive de notre cliente).

    Ensuite, un nom peut marcher seul ou être accompagné d’un slogan (qui peut être utile pour préciser votre activité).

    Agence Coam - Nom de son entreprise et slogan / baseline

    Quelles sont les étapes pour trouver le nom de son entreprise ?

    Étape 1 : Le nuage de mot.

    Dans un premier temps, nous vous conseillons de tout poser par écrit. C’est ce que nous avons fait, chacune de notre côté : nous avons mis sur papier les mots-clés, les valeurs qui nous rassemblent.

    Pour nous, c’était : le groupe, la féminité, le graphisme, les bons moments (les goûters et apéros) qu’on partage ensemble.

    Il suffit ensuite d’aller du plus basique au plus générique.

    Étape 2 : Benchmark.

    Se renseigner sur ce qui existe et qui nous inspire. On vous conseille de répertorier les noms de marque qui nous inspirent et d’analyser pourquoi vous les appréciez. Si c’est la sonorité ou la syntaxe vous pouvez vous en inspirer et l’adapter avec vos propres mots.
    Attention tout de même à vous détacher de vos inspirations car un nom est très personnel et fait écho à son histoire. Bien évidemment, il y a aussi des questions de plagiat pour des noms trop similaires.

    Étape 3 : Inventer des mots.

    Il est aussi tout à fait possible de créer des mots qui n’existent pas :

    En combinant des sons, deux mots qui n’ont pas forcément de liens, ou ses initiales par exemple. C’est ce qu’on appelle l’onomaturge.

    Cōam c’est une contraction de :

    • co : collaborateur/co-création tout ce qui traite du travail
    • am : pour ami, pour rappeler notre relation de base qu’est l’amitié.

    On avait lié les deux dans un premier temps par un tiret qu’on a ensuite placé sur le ō.

    Agence Coam - Nom de son entreprise - La signification de Coam

    Étape 4 : Vérifier

    Dès qu’une (ou des idées) se présente(nt), nous vous conseillons de faire des recherches autour de votre idée avant de prendre des décisions hâtives. On n’est jamais à l’abri des mauvaises surprises.

    Nous vous conseillons par exemple de :

    1. Googler (ou plutôt sur Ecosia ?) votre idée. N’ayez pas peur de vérifier si votre nom n’a pas déjà été pris par une marque concurrente ou s’il n’a pas un sens tout particulier dont vous ignoreriez l’existence.
    2. Taper votre nom sur les réseaux sociaux.
    3. Demander l’avis de vos proches.
    4. Regarder si quelqu’un a déposé votre nom de marque à l’INPI.

    Étape 5 : Une fois validé, réserver !

    Une fois que vous avez trouvé votre nom coup de cœur, foncez !

    Il faut réserver les réseaux sociaux nécessaires, et le nom de domaine de votre futur site internet.

    Vous pouvez ensuite déposer votre nom à l’INPI (Institut national de la propriété industrielle). Pour protéger votre nom pour 10 ans en France. À savoir, l’INPI sert aussi pour protéger votre concept, votre innovation, votre produit, votre logo… Plus d’infos ici.

    Si vous n’arrivez votre nom toujours pas à trouver avec toutes ces astuces, ne désespérez pas. Prenez le temps de vous aérer l’esprit, interrogez votre entourage, faites des pauses. Vous pouvez aussi nous solliciter pour vous donner un coup de pouce, nous sommes un peu là pour ça ?